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S
anté & Bien-être


Libérés des sources de stress traditionnels pour l'individu (recherche de nourriture, de logement, sécurité), la personne peut prendre soin d'elle et combattre plus aisément une autre menace : la maladie. Pour cela, la présence des médecins est indispensable, mais l'année de Sensibilisation à la Cohésion sociale a permis à tous d'apprendre les gestes de premiers secours, permettant chaque année de sauver plusieurs milliers de vies sans l'intervention de professionnels. La pratique du sport permet quant à elle d'entretenir un corps sain, mieux préparé à combattre les aléas de la vie.

Vos Ministres

Apollinie
Mme Zouzana Lamba

Athalie
Mme Loana Pissine

Melpothalie
Mr Philo Zof


- Veille au développement équilibré des structures médicales publiques.

- Finance 45% du budget des écoles fédérales de Médecine (il y en 11 au total dans toute l'Othanie)

- Subventionne les sportifs de catégorie national, qui participent aux compétitions internationales, sous réserve qu'ils s'engagent par la suite comme professionnels de la Santé.

- Aide à la construction et à l'entretien des équipements sportifs.

- Chargé d'appliquer la mobilisation générale des médecins en cas de crise.

- Veille à la normalisation de tout produit dit "potientiellement dangereux" pour la santé de l'individu qui en use (vêtement, jouet, meuble, aliment, produits chimiques, etc, ...)

 

Chose généralement surprenante pour un étranger : le sport n'est considéré que comme un moyen d'entretenir une bonne santé pour son corps, rarement comme un loisir, et jamais comme une profession. Les rares sportifs qui reçoivent des subventions d'État pour participer aux compétitions internationales ne sont pas considérés comme des professionnels. Généralement, ils deviennent ensuite professeurs de sport dans les écoles et entreprises, ce qui est assimilé à une fonction dans la Santé Publique.

Dépense nationale pour la santé (en moyenne, par État) : 14,9% du PIB.

Couverture des médecins (en moyenne) : 1 pour 2 000 habitants environ.

Couverture des centres de soins (hors cabinets privés - rares, existent surtout dans les grandes villes) : 1 pour 7 000 habitants environ

 

Mère et son enfant

Toute la tendresse du monde...
par Arthus Yannand