Pour toute information sur les animations et les projections, s'adresser à l'Hotel de Ville de Dooville.

La cérémonie de clôture

Avec une audience en forte hausse, l'édition 1005 des Skars a réussi pendant une semaine à faire rêver, plus qu'une ville, le Monde Anneau entier. Ainsi Dooville fut le décor de centaine d'événements qui réunis autours du festival ont rassemblés le gratin alliancéen de la culture. Et pour finir en beauté, comme toutes les années, les heureux lauréats vont se voir décerner les Skars lors de la grande cérémonie.

C'est aux portes de la nouvelle salle du Théâtre de Dooville, rénové pour l'occasion, que se bousculent les journalistes et les nombreux aficionados du cinéma afin de voir le défilé des invités. Un spectacle des plus impressionnant, vu le nombre de célébrités avançant avec sourire sous les flashs des photographes.

La cérémonie commence alors que tous les convives sont installés et attendent de connaître le présentateur, maintenu secret, de cette édition. Les lumières se braquent toutes sur l'entrée de la scène et voila, dans un costume glamour signé Giorgio Alfati, styliste san-nicolandais, qui monte sur l'estrade, sous les applaudissements unanimes, le chanteur compositeur nicolandais Ben Harpen. Il invite le président du jury Jean Renaud à ouvrir officiellement la soirée par un discours sur l'élargissement du cinéma à travers Alliance et sur la nécessité de la diversité des films et des gouts pour un monde plus vivant.

La nouvelle salle du Théâtre de Dooville

« C'est cette diversité aujourd'hui présente aux Skars qui fait que nous soyons un des événements culturels majeurs » Déclara Ben Harpen en introduisant la réalisatrice othanienne du "Roi fou ou les confidences d'un acteur" et membre du jury, Emma d'Icône pour remettre le prix de la Meilleure Affiche, qu'elle reçut l'année dernière. Le premier prix de la soirée est remit à Stan Lay, réalisateur de la coproduction othano-abeurienne « En Route Vers Le Nouveau Monde ». Il remerciât le public pour son vote et aussi Anna Taquin, actrice principale qui donne corps et âme au film et à l'affiche.

« C'est vrai qu'elle est belle l'affiche ! » Témoigne, joueur, Ben Harpen. Ce qui fit sourire l'assistance instruite sur son histoire avec Anna Taquin... Et il invita de suite, afin de donner le Skar de la Meilleure Bande Annonce, Austin Huffman acteur principal de « George ». Et c'est la très acclamée Anne Boudeille qui vient recevoir le prix pour sa comédie « Lover Blue » et n'arrivant pas à cacher sa joie, elle embrasse Austin et lui promet un rôle dans son prochain film.

Afin de remettre le Skar de la Meilleure Musique, Ben Harpen appelle son compagnon de tournée, le musicien John Jackson et en entamant ensemble une musique à capella, ils annoncent que le prix est décerné au film « L'Auberge Pastagonienne ». C'est tout un groupe qui vient sur la scène : on y trouve le réalisateur Ludovic Savenik entouré de l'acteur abeurien Ulfila Grodur, de sa collègue shawanaise Catherine Mésson , du nicolandais Vincent Saez et du groupe des Galinhas Assassinas qui ont interprété la musique de la bande annonce. Ils remercient le monde du cinéma qui permet souvent de faire vivre l'idée derrière la musique, mais aussi aux musiciens qui donnent une autre vision et des sensations supplémentaires aux films.

Hjens Jaghenborgh, lauréat 1004 de la meilleure technique vient sur la tribune afin d'attribué le Skar de la Meilleure Technique au film ayant fait preuve du meilleur savoir-faire. Le vainqueur est « Phénix : le combat des dieux », l'adaptation de la célèbre bande dessinée par le réalisateur, connu pour ses films d'action, Michel Crypton qui accorde modestement tout le mérite aux techniciens qui ont travaillé avec lui.

Scénariste de "Vartizan never diy" et membre du jury, le kanaan Iro Radan remet le prix de Meilleur Scénario à son successeur, la réalisatrice-scénariste des Iles Unies, Erica Lund, pour « Diario de Um Pecador ». Elle entame, après avoir reçut le Skar, un discours sur la relation réalité-fiction et où se trouvent les limites de chacune.

Ben Harpen averti qu'une pause musicale va avoir lieu et présente le groupe cyrillien des Chempikolé qui entame le grand succès "Ultrogotte prend sa faucille".

De retour pour cette deuxième partie de la cérémonie, Ben invite sur scène Rehmi Alih, réalisateur du documentaire « Un mois en Polygonie » (Skars 1001) et celui-ci distribue à Néanderthal le prix du Meilleur Documentaire. La célèbre ethnologue abeurienne Mariange Pouchin dédie son film au Néanderthaliens qui vivent dans les montagnes cliotiennes et sensibilise la salle pour une meilleure compréhension des autres.

Glorifié par la critique il y a 2 ans, Michel le Plaid, réalisateur alizéen du film « Peter Pont » apporte le Skar du Meilleur Film d'Animation et le donne à Louis Naton, directeur artistique du Studio Laumi Animation, pour « Laurent 1er ». Celui-ci se trouve fortement ému et déclare que c'est un immense honneur d'être là sur le podium au milieu des meilleures productions d'Alliance.

Le Skar de la Meilleure Comédie fut un des prix les plus disputés lors des votes avec une bataille rude entre le film san-nicolandais « Le ménage ! C'est beaucoup plus facile... à trois ! » et le film othanien « Lover Blue ». C'est finalement ce dernier qui se voit adjugé la fameuse statuette par les frères Marc et Michel Caïen, auteurs de « Petite Tâche » (Prix de la Meilleure Comédie 1004). Anne Boudeille revient donc sur la tribune accompagnée cette fois par le duo d'acteur Paul de Melpothalie et Klod Erzan. Ce dernier déclara, après de nombreux bravo, que ce fut le meilleur tournage auquel il participa et que cela se reflétait à l'écran.

Le film ayant réalisé la meilleure reconstitution historique se voit récompensé par le shawanais Sheikh Ahmed Ben Aouid qui offre le Skar du Meilleur film historique à William Minémeurt et Arago Lorn pour « Quintarlaz 345 ». C'est pour William, un fait important de permettre à travers le cinéma reconstruire le passé et en tirer les leçons pour le futur.

C'est ensuite très naturellement à Boreas Merelo, réalisateur de "Even Burn vur Hell" et membre du jury, de remettre le prix de Meilleur drame à son compatriote du Bongoland, Atagartès Fermann pour le film « Diye of ze Mad » qui marqua fortement le public par son message sur la folie de l'homme. « C'est n'est pas le but du film de comprendre les actes d'Alexandre Bongo, c'est plutôt un moyen de montré l'ambigüité de l'homme devant une certaine situation. » témoigna Atagartès.

C'est après ce beau discours que Ben Harpen annonce la fin de la deuxième partie de la cérémonie et c'est le duo de La Resistencia, Goten Project, qui plonge l'assemblée dans un spectacle mêlant tango et électronique, le tout illustré par une fusion de lumières et d'images.

La belle et élégante actrice et membre du jury, Débora Salmão monte sur scène pour le prix de Meilleur Acteur. C'est sa belle voix qui annonce que Paul de Melpothalie est considéré comme étant le meilleur acteur de cette édition des Skars pour sa participation dans les films othaniens "Lover Blue" et "Quintarlaz 345" déjà récompensés. Après l'ovation de la salle, Paul déclare que c'est un rêve qu'il vient de réaliser et répondant à certaines questions posées auparavant, il témoigne que le monde du cinéma est beaucoup plus sincère que le monde de la politique.

Ben Harpen avoue que le prix qui suit est celui qu'il préfère car ce sont toujours des femmes formidables qui le raflent, et appelle le réalisateur s'lip s'leedr de Thaarvokkel, Gheorgh Ytloender, afin d'apporter le Skar de Meilleur Actrice.
C'est une catégorie difficile et c'est finalement Marie Nysce qui monte sur la scène afin de recevoir le prix pour son magnifique rôle dans le film "La Princesse Guerrière" où elle incarne un des plus importants personnages de l'histoire abeurienne. « C'est pour moi un moment inoubliable et j'espère ainsi avoir donné le gout du cinéma aux abeuriennes. C'est une édition magnifique pour notre pays qui emporte ainsi un 3ème Skar. »

Avant d'annoncer le Skar de la Meilleure Fiction qui récompense le meilleur film sous tous ses aspects, Ben Harpen va attribuer le Prix spécial du public au film « Diario de um Pecador » déjà récompensé cette nuit. Erica Lund monte de nouveau sous les applaudissements et avance que le fait que le public ait aimé son film la rend très heureuse et lui donne de la force pour continuer à faire mieux. Elle finit son discours en remerciant encore une fois le public.

Le jury a aussi choisi son film préféré et le Prix du jury est attribué cette année à « Lover Blue ». C'est la soirée d'Anne Boudeille qui voit ici son film récompensé pour la 4eme fois en comptant le Skar de Meilleur Acteur de Paul de Melpothalie. Anne témoigne son émotion en remerciant le jury et la critique pour avoir dit tellement de bien sur son film.

Et enfin, pour terminer cette soirée fantastique en beauté, c'est le président du jury Jean Renaud, accompagné des autres membres du jury, qui vient annoncer le Skar de la Meilleure Fiction. C'est le suspens total dans la salle alors qu'il ouvre l'enveloppe contenant le nom du lauréat. « Le Skar de la Meilleure Fiction est accordé à? (Bruit des tambours)?à Lover Blue ! » C'est l'exultation du coté des othaniens et pour la cinquième fois Anne Boudeille vient sur la scène. Véritablement gênée par tant de succès, elle ne trouve de mot que pour remercier encore une fois le public et les acteurs.

C'est donc dans une ambiance de fête que cette cérémonie se termine. Ben Harpen entame accompagné de John Jackson, des Galinhas Assassinas, des Goten Project, des Chempikolé, des membres du jury et des lauréats saluant le public, la chanson « Le destin entre tes mains ». La nuit va se poursuivre dans les discothèques et les cafés nocturnes de Dooville qui voit donc finir sa grande semaine et retourne au calme, en attendant la prochaine édition.

Les Skars sont un événement culturel du jeu de nations virtuelles, ALLIANCE.

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