Le Président ludicien, Mr Ludik, fit alors appel aux pays d'ESPERA et à l'ONV afin de sauver son pays de ce bain de sang, en même temps qu'il officialisa sa démission ert la mise sous tutelle de son Etat sous le gouvernement de l'ESPERA.
La Pneuma répondit sur le champs en proclamant l'état d'urgence à ses frontières du Ludicia, en activant les accords de Défense avec la Nouvelle-Abeurie, en décrétant la mobilisation générale et en déployant une colonne de 70 000 hommes, soldats d'élite, archers, cavaliers lourds et légers, artilleries,...
Craignant une surenchère de violence, l'ONV, conjointement à la Melpothalie mobilisa 27000 soldats non violents melpothaliens, abeuriens, et teutais, 10 avions largueurs de boules puantes et de balles de tennis.
L'Abored, quant à lui, se dit aussitôt prêt à accueillir les réfugiés ludiciens.
Le 26, l'armée non violente pénètra le pays belliquant sans trop d'opposition jusqu'à qu'elle arriva dans la ville de Léonardo. Là, la bataille fit rage. Du côté de l'armée non-violente, on dénombra 32 morts et 348 blessés, du côté des résistants ludiciens, 4 morts, 126 blessés et 1315 prisonniers et enfin du côté des civils, 15 morts et 402 blessés. Heureusement, ce sera le dernier combat à livrer, car, devant la détermination mais aussi les bonnes intentions des soldats non-violents, la population de la capitale, Ludipolis, accueillit bras ouverts les parlementaires et à force de discussion, ils aboutirent à un retour définitif de la paix.
L'armée de la Pneuma, de la Nouvelle-Abeurie et de l'Abored, également participèrent à la pacification du pays dans d'autres régions, sans faire d'avantage de victimes.
Une fois le pays pacifié, il fut mis sous tutelle de l'ESPERA, et sous contrôle de l'armée non-violente.
Le sort du Ludicia est encore en étude au sein de l'ESPERA. Aux dernières nouvelles, le pays devraient être partagé et administré par les différents pays ayant participé à sa pacification. La Melpothalie devrait contrôler la capitale, Ludipolis et sa zone environnante.
Pour en savoir plus, lire la rubrique consacré sur le site de l'ESPERA